L’Union des fédéralistes européens (UEF-France) et les Jeunes Européens-France vous invitent à participer à la seconde Convention des fédéralistes européens, intitulée « Convergences fédérales » qui se déroulera samedi 13 juin 2015 à Lyon.
9:00 - 9:45 : Accueil des participants
Mot d’accueil par Alain RÉGUILLON, président de l’UEF-France et Chloé FABRE, présidente des Jeunes Européens – France. Présentation de la journée par Valéry-Xavier LENTZ
avec Chloé FABRE, la présidente des Jeunes européens-France, Catherine VIEILLEDENT-MONFORT, secrétaire générale du Groupe Europe de l’UEF, Alain MALÉGARIE, président du Parti fédéraliste européen Rhône-Alpes-Auvergne, et Alain RÉGUILLON, président de l'UEF-France.
Nous avons fait appel aux militants fédéralistes en leur proposant de soumettre des projets de conférences qui vous seront présentées ce jour là. Au cours de la journée, dans deux salles, une quinzaine d’exposés aborderont les thèmes qui préoccupent les fédéralistes européens, les motivations de leur engagement, ou offriront un point de vue original sur notre cause. Chaque exposé sera suivi d’un débat avec les participants.
10 après le non au referendum, les raisons du non ont été analysées sous tous les angles : matériel de campagne, messages politiques, positionnement des partis, referendum comme vote de défoulement, sentiment européen défaillant, approche beni-oui-oui etc. ou presque car le fondement théorique de la campagne initiée au milieu des années 90 reste le même : le patriotisme constitutionnel développé par Jurgen Habermas et repris tel quel par les organisations fédéralistes.
Ce modèle qui se veut théorique est-il suffisant pour obtenir une Europe fédérale ou doit-il aussi être dépassé ? En partant des conclusions de la campagne actualisées par les récents évènements européens, il s’agit de montrer les défaillances du modèle qui nécessitent un apport complémentaire pour coller au mieux avec la nouvelle donne politique européenne.
https://www.youtube.com/watch?v=qd7cmy3UOgM
Florent BANFI a rejoint les fédéralistes en 2000. Il a eu plusieurs responsabilités au sein des Jeunes Européens Sciences-Po puis des Jeunes Européens France et Europe. Il est actuellement au bureau de l’UEF France et de l’UEF Europe. Ingénieur de profession, Florent travaille dans l’industrie ferroviaire.
Si « déficit démocratique » il y a, il ne faut pas incriminer les seules institutions européennes et leur fonctionnement. La société civile européenne demeure embryonnaire. Les élections au Parlement européen étant la principale occasion donnée au citoyen de s’exprimer, il est important de capitaliser sur cet événement.
Le Parlement européen est élu au suffrage universel depuis 1979, et pourtant peu nombreux sont les électeurs conscients des enjeux de cette élection. La cause est double : des campagnes électorales menées par les partis nationaux, largement centrées sur des considérations nationales, et une couverture médiatique qui ne fait guère mieux.
La Commission des Affaires institutionnelles du Parlement étudie actuellement plusieurs pistes de réforme de la loi électorale, allant de la simple information sur les affiliations entre partis nationaux et européens jusqu’à la circonscription unique européenne avec des listes transnationales. Dans tous les cas, une véritable démocratie européenne suppose un rôle accru des partis politiques européens, ce qui selon les dernières nouvelles semble loin d’être acquis.
Originaire de Suisse, État fédéraliste s’il en est mais absent de la construction européenne, Pierre Jouvenat a fait carrière dans les organisations internationales de Genève pour aider les pays en développement, par l’assistance technique, à tirer le meilleur parti des accords commerciaux. Aujourd’hui naturalisé français, il a été frappé par les dysfonctionnements des élections européennes.
Le 8 mars dernier, le président Juncker a dit tout haut ce que beaucoup, de plus en plus nombreux, pensaient tout bas depuis des mois : l’OTAN ne suffit pas, il faut une armée européenne. Comme au début des années cinquante, ce sont les circonstances – mais pas tout à fait les mêmes –, qui ramènent ce sujet parmi nos préoccupations de premier rang. L’Union européenne se trouve aujourd’hui confrontée à des menaces, voire à des dangers bien réels. L’UE prend conscience qu’elle est en train d’atteindre des frontières de fait.
La défense européenne et même l’armée européenne sont donc devenues des sujets d’actualité.
Et même si, faute d’une volonté politique clairement établie, certains doutent de la rapidité de sa réalisation, il importe de bien comprendre le contexte politique, notamment constitué par les traités, ainsi que les conditions qui restent à remplir pour son avènement. C’est ce que cette présentation vise à mettre en évidence, de manière à ce que les débats s’établissent sur des bases aussi claires que possible.
François Mennerat est membre du bureau européen de l’UEF et vice-président de l’UEF-France
Diaporama et vidéo :
Le sujet de la mise en place d’institutions fédérales en France est peu évoqué, en général, par les militants fédéralistes européens. Pourtant, ce sujet est important pour le fonctionnement de la France, pour la participation des citoyens, et pour la perception de l’Europe par les citoyens français, car l’Europe est perçue au travers de prismes français très ancrés.
L’exposé présente la situation actuelle des structures politiques françaises, en particulier sur le plan des finances, et de leurs pouvoirs. Il examine la réforme territoriale de 2014 puis souligne les principales conséquences du fonctionnement institutionnel actuel en France.
Puis les voies d’avenir pour une France efficace dans une Europe solidaire et fédérale sont examinées, et les exemples européens que pourrait suivre la France, sont présentés.
Enfin, la réflexion intègre les espoirs et les freins par rapport à une évolution fédérale des institutions de la France.
Ingénieur de formation, François Coutin a vécu durant de longues années sur les frontières de l’hexagone : district européen de Sarrbruck-Forbach, région genevoise, région baloise (Dreieckland), agglomération lilloise. Cette expérience professionnelle et personnelle a ancré son militantisme pour une fédération européenne. Il est actuellement membre du bureau de l’UEF Rhône-Alpes.
Compte tenu des derniers événements tragiques de Lampedusa, qu’est-ce que l’Union Européenne peut faire pour relever les défis de l’immigration ? Si, d’un côté, se cacher derrière la xénophobie populiste ne sera pas la solution, de l’autre on ne pourra pas continuer à laisser les pays du Sud de l’Europe seuls face à cette urgence humanitaire.
Une approche basée sur les statistiques et les réalités de l’immigration nous permettra donc de voir ce phénomène d’une perspective souvent cachée par l’instrumentalisation politique de tous bords, dans l’espoir d’aboutir à une réflexion et à des propositions pour faire face à ce problème.
Alice Stradi naît à Modena, en Italie, le 6 octobre 1992 ; elle déménage en France en 2011 pour poursuivre ses études supérieures à l’Université Jean Moulin Lyon III, où elle est actuellement inscrite dans un cursus de double licence en Droit et Sciences Politiques. Passionnée d’Europe depuis sa participation au projet Model European Parliament, elle est militante du Parti Fédéraliste Européen - Rhône-Alpes - Auvergne et adhérente de l’association Jeunes Européens Fédéralistes.
Cette conférence concerne le débat sur le droit de vote des étrangers et plus généralement sur la citoyenneté résidentielle. L’objectif est de convaincre l’ensemble de la société civile fédéraliste que le droit de vote de tous les « étrangers » (qu’ils soient européens ou non) à toutes les élections est une conséquence logique de l’intégration du continent européen. Et pour cause, cette mesure s’inscrit à la fois dans la perspective libérale et universelle dans laquelle l’idée d’une fédération européenne se situe en s’opposant au paradigme nationaliste qui s’attache notamment à confondre l’appartenance nationale et l’appartenance civile.
Le but de l’exposé est de comparer et confronter les notions de citoyenneté et de nationalité avec l’éclairage de la liberté de circulation au sein de l’espace Schengen et de la liberté de circulation des citoyens de l’UE et des conséquences pratiques que cela emporte sur ces deux notions.
https://www.youtube.com/watch?v=WgYB1n4qa-I
Jérôme Quéré est vice-président des Jeunes Européens-France, responsable du développement local des sections.
L’indépendance nationale est un mensonge. L’économie est mondiale, mais faute d’un gouvernement mondiale utopique dans l’immédiat un gouvernement européen serait légitime comme gouvernements nationaux. L’écologie ne s’arrête pas à nos frontières.
Mais là encore il est impossible de trouver une solution au niveau mondial. Il serait pertinent d’un esquisser une au niveau européen. La défense des citoyens serait plus efficace au niveau européen qu’au niveau national. Notre défense est actuellement illusoire et ce se situe déjà sous le parapluie américain.
Le patriotisme n’est pas l’opposé du fédéralisme. Revenons à un patriotisme au sens littéral du terme. Patria = pere. Notre patrie c’est la terre de nos pères. En tout cas sentiment très personnel “je suis citoyen du monde”.
Le peuple européen ne se contente pas de raisonnement, mais aussi de sentiments artistiques. Je voudrais développer les questions sentimentales des Européennes. Les intérêts culturels de nos populations ne seront préserves que par une reforme fédérale. N’oublions pas que le fédéralisme c’est l’unité dans la diversité.
À 18 ans, Guy Plantier était l’un de ceux qui avec Altiero Spinelli se battait pour une assemblée constituante européenne : « Le peuple européen nous en a donné mandat dans les sélections primaires en peu partout en Europe ». Jusqu’à maintenant il croit fortement à l’idée du fédéralisme européen.
La situation en Grèce éclaire ce que les fédéralistes ont parfois oublié d’analyser et d’accompagner.
L’attention prioritaire accordée aux mécanismes institutionnels et aux préoccupations monétaires et économique a fait délaisser les mouvements de fond dans les groupes sociaux dominés. Face à la pression du capitalisme financiarisé et des technologies qu’il utilise pour une mondialisation violente, ceux-ci se rebiffent. En soutenant les forces politiques antisystèmes ou en allant jusqu’à des émeutes. Et ce dans tous les États. Allant jusqu’à verser parfois dans les pires ornières de ce que l’Europe a produit.
L’histoire des fédéralisations d’autres pays rappelle qu’il en fut de même en d’autres temps. Que les fédérations américaine ou mexicaine ne furent pas produites seulement pour « l’idéal de l’Union ». La création d’un état fédéral, au service des groupes dominants, répondait au besoin d’un pouvoir fort capable de contrôler les mouvements sociaux aussi efficacement qu’une dictature dans chaque petit état national.
L’état de l’Europe actuelle laisse espérer à l’inverse, que la puissance de la démocratie l’emportera et que la question sociale trouvera dans la fédéralisation européenne des réponses à ses exigences d’égalité, à son refus des injustices, à son besoin de fraternité.
Cela suppose que les forces progressistes s’emparent du projet fédéral et le porte avec les peuples.
Militant fédéraliste européen de longue date à Lyon et ex-membre du Bureau de l’UEF Europe. Membre refondateur de la Maison de l’Europe et des Européens. Conférencier Team Europe. Auteur de « Je suis…Jean Monnet », ouvrage de vulgarisation pour les lycées.
Au sortir de la Deuxième Guerre mondiale, la Sarre, terre de frontière par excellence devient le laboratoire pour une Europe nouvelle. Le territoire acquiert son autonomie politique et demeure rattaché économiquement à la France dès 1947. En 1950, on souhaite en faire un pilier des institutions européennes. La Sarre devient un membre associé du Conseil de l’Europe malgré les réticences de la RFA. Avant de choisir Luxembourg pour le siège de la CECA, Sarrebruck est candidate. C’est finalement pour la Communauté européenne de Défense que la ville est retenue. Malheureusement, le projet fut abandonné après le rejet de l’Assemblée nationale française. Les accords de Paris du 10 avril 1952 propose de régler le cas de la Sarre. Elle deviendrait le « Washington DC » de l’Europe, après referendum, en européisant son territoire dans son ensemble selon le plan Van Naters de 1954 et en préparant une monnaie européenne.
La Sarre devient non plus un enjeu, mais un espoir pour les plus “européens”. En effet, ils voient alors l’occasion de donner une nouvelle impulsion à une Europe en construction. L’idée européenne s’ancre de plus en plus notamment par le vecteur de l’Université de la Sarre, véritable institution européenne qui accueille des étudiant du continent et dispense des cours en allemand, en français et en anglais. Johannes Hoffmann, chef du gouvernement autonome, déclame ses discours devant le drapeau sarrois mais aussi de l’UEF. On souhaite donc construire l’Europe politique mais aussi culturelle. Les Sarrois sont alors appelés aux urnes en octobre 1955.
La campagne est d’une violence rare. Les hommes politiques anciennement favorables à la solution européenne retournent très vite leur veste. Les partisans du non font tout pour détourner l’attention vers d’autres problématiques. Les utopistes des Nouvelles équipes internationales ou des fédéralistes européens font de nombreux efforts pour recadrer le débat, en vain. Le rejet du statut européen conduit alors au rejet du statut actuel de la Sarre. Par là même une certaine idée de l’Europe meurt en même temps que le plan d’européisation. Les pro-européens se réveillent avec un certain malaise puisque les résultats sont un désaveu. Le statut a été rejeté à plus de 63% des voix exprimées. Jamais l’Europe politique ne fut si proche. Mais les Sarrois n’ont pas vraiment voté pour ou contre l’Europe mais pour une question que l’on ne lui posait pas, c’est à dire l’union économique avec la France. L’Europe politique connut à ce moment un profond coup d’arrêt. Seule l’union économique a réussi ; non pas le rêve du gouvernement Hoffmann d’unir les Européens par le cœur.
Né en Bourgogne en 1984 et ayant fait ses études à l’Université de Dijon et de Sarrebrück. Ses mémoires de master ont porté sur « La tutelle monétaire française sur la Sarre » et la « Question de la nationalité sarroise ». Actuellement enseignant d’histoire géographie au Lycée Verlaine de Rethel et doctorant à l’Université de Liège sur le territoire neutre de Moresnet, ses travaux portent sur le concept d’État-Nation et des Utopies aux XIXe et XXe siècles.
La fédéralisation de l’UE est bloquée par la pensée tenace qui veut qu’État et souveraineté soient indissociables. C’est que l’idée même de souveraineté porte en elle les germes du rejet de l’autre. Ce qui est aux antipodes du fédéralisme.
Paradoxalement, l’Europe fédérale ne pourra se faire qu’avec l’assentiment populaire. Car si jusqu’ici l’Europe a pu être bâtie top-down - du haut vers le bas - désormais les entorses successives faites à la démocratie ne passent plus. Seul un processus bottom-up - du bas vers le haut - fera bouger les lignes.
Dès lors, comment convaincre la majorité que l’union fait la force, que le nain politique qu’est l’UE intergouvernementale est un poids plume face aux périls qui montent à vitesse vertigineuse, qu’il faut une Europe forte - donc fédérale - pour construire un avenir de paix, que fédéralisme ne signifie pas abandon mais délégation de souveraineté ? Bref, comment extirper l’opinion publique du somnambulisme opiacé du souverainisme suicidaire ?
Communiquez, communiquez, il en restera toujours quelque chose ! Pour ce faire, il importe de construire - avec professionnalisme et constance - un arsenal argumentaire apte à faire voler en éclats les arguties et autres entourloupettes souverainistes. L’accès aux médias grand public est en outre impératif. Du pain sur la planche en perspective !
Membre du Comité Directeur de l’UEF-F, Rémy Volpi est né à Paris pendant la guerre d’un père italien et d’une mère russe. Chimiste textile, diplômé en commerce international, et docteur en sciences de gestion, il a consacré sa vie active à l’entreprenariat, comme manager, consultant, et enseignant. Il a écrit sur l’histoire européenne (Mille ans de révolutions économiques, L’Harmattan, 2002) et sur l’outil fondamental de la civilisation (Négociation, L’Harmattan, 2009).
Avec Chloé FABRE, la présidente des Jeunes européens-France, Catherine VIEILLEDENT-MONFORT, secrétaire générale du Groupe Europe de l’UEF, Alain MALÉGARIE, président du Parti fédéraliste européen Rhône-Alpes-Auvergne, et Alain RÉGUILLON, président de l’UEF-France.
Alain Malégarie est militant de l’Europe depuis 25 ans. Il a travaillé onze ans durant pour l’Institut de l’euro, structure qui a contribué à la mise en place de l’euro. Alain Malégarie exerce des responsabilités à l’UEF et au Parti fédéraliste européen.
Chloé Fabre, présidente des Jeunes Européens - France depuis octobre 2013, Chloé a 25 ans et s’engage pour le fédéralisme européen et pour rapprocher l’Europe des citoyens depuis 7 ans au sein des JE-F, de Nouvelle Europe et de l’UEF. Twitter : @chloe_fabre
Alain Réguillon est président de l’UEF-France
L’UE a dédié pour 2015, pour la première fois depuis 30 ans, une année européenne à une politique extérieure de l’Union : celle de l’aide au développement et à la coopération.
Premier pourvoyeur d’aide sur le plan mondial (plus de 56 milliards d’Euros) l’Union européenne s’impose comme un acteur clé du « développement » dans 140 pays du monde et 21 pays et territoires d’Outre Mer. Le consensus en matière de coopération engage les États membres sur un socle de valeurs et de principes communs (Objectifs du millénaire pour le développement) et la promotion d’un nouvel équilibre Nord-Sud.
La pratique fait toutefois apparaître de profondes contradictions entre une rhétorique humaniste et des stratégies trop souvent commerciales qui laissent à penser que si la réalité de cette aide est impressionnante et originale sur le plan institutionnel et financier et remarquable dans le cadre d’une convergence européenne exceptionnelle, les perspectives et les obligations de résultats posent cependant de sérieuses questions quant à leur efficacité au regard des objectifs visés, des procédures d’accès à cette aide et des conditions de sa mise en œuvre.
Pierre-Yves Maurice, ancien ingénieur d’études et de recherches universitaires (Université de Paris XI) Conseiller principal auprès des Nations-Unies (CCI Cnuced/OMC, PNUD) Conseiller économique et financier au Ministère français de la Coopération, Délégué Général de « l’Agence Consulaire de Coopération Internationale au Développement » (A2CID) des Chambres de Commerce et d’Industrie Françaises, a été très impliqué dans les projets d’aide au développement, de leur conception à leur réalisation, pendant plus de trente ans.
Après 70 ans , ou en sommes nous ?
Des avancées positives, mais lassitude démocratique.
Une Europe « boiteuse », de l’économie mais pas/peu d’Europe intégrée, à la hauteur de sa puissance potentielle.
Les enjeux européens du XXIème : guerre ou paix, emplois durables, valeurs démocratiques, insertion dans la mondialisation ( innovation, recherche, mobilité interne ), migrations, energie, environnement...
Les scénarios possibles :
Michel Caillouët, 40 ans de carrière européenne , dont 9 ans comme Ambassadeur de l’UE dans différents pays d’Asie ( à Bangkok, puis New Delhi ), premier représentant de la Commission auprès du Conseil de l’Europe. Membre et chargé de la communication du European Federalist Party.
Florent Banfi
Dépassons le patriotisme constitutionnel !François Mennerat
Faut-il une défense européenne ? Et comment la mettre sur pieds ?François Coutin
France : de la réforme territoriale vers un vrai fédéralisme ?Alice Stradi
L’immigration en Europe : défis et perspectivesJérôme Quéré
La citoyenneté pour tousGuy Plantier
La France, notre nation est éternelle !Pierre-Yves Maurice
Union Européenne et aide au développement - réalités et perspectivesMichel Caillouët
Unité européenne, idée obsolète ou espoir de demain ?Participation aux frais de l'événement
20 €
Conférences
Déjeuner
Actes de la Convention
Soutien financier
32 €
Conférences
Déjeuner
Actes de la Convention
Soutien financier
50 €
Conférences
Déjeuner
Actes de la Convention
Soutien financier
12 €
Conférences
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Actes de la Convention
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