Andreas Mucke, maire de Wuppertal, rappelle la paix comme raison d’être de l’Europe et la responsabilité qui en découle pour l’Europe de s’engager pour la paix dans le monde, dans l’accueil de ceux qui recherchent l’asile, dans la dynamique d’une politique mondiale juste. Les communes doivent aussi parler plus d’Europe notamment via les nombreux jumelages.

La table ronde d’ouverture pose la question comment l’image de l’Europe peut être améliorée dans un contexte de populisme grandissant et des conflits dans la politique européenne des réfugiés. L’Europe n’est pas le problème mais la solution déclare Jörg Bentmann du ministère fédéral de l’Intérieur. L’UE est un projet d’avenir. Le Brexit montre bien les avantages que l’on perd lors d’une sortie. D’autres intervenants mentionnent l’échange et la mobilité, l’égalité entre les citoyens.

Suivaient des débats thématiques. Le groupe sur Schengen et la libre circulation des personnes conclut qu’il faut réouvrir les frontières dès que possible et faire aboutir le compromis dans la politique des réfugiés. Ils attire l’attention sur les causes de la fuite où l’Europe a sa part de responsabilité. Travailler sur ces causes et l’immigration légale est important. Le groupe sur l’intégration ou la désintégration dans l’espace économique et social européenne les questions constate un déséquilibre pour l’économie. Les peu d’initiatives européennes dans le social ne sont pas mises en œuvre par les États membres. Le groupe sur la criminalité organisée et le terrorisme souligne la lutte contre la criminalité par la prévention et la poursuite des crimes commis.

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